On accède à cette île après s’être acquittés d’un droit d’entrée pour la protection de la faune et la flore locale ce qui limite la population.

C’est un mélange entre Ibiza et la Tranche sur mer à la sauce Brésilienne.
Il y a une rue principale bordée de restaurant à touristes et de petites boutiques de fringues d’été et de maillots de bain, intercalées de vendeurs à la sauvette de bracelets brésiliens.  Le seul moyen de transport ici est la brouette.La principale activité est la plage avec consommation souvent excessive et tard dans la nuit de caïpirinha. La femme Brésilienne est magnifique, elle est ronde, elle s'assume en bikini sur la plage et elle enchaine les selfie, elle s'aime et nous aussi.


C’est derrière que tout redevient réel au détour d’une ruelle sur un sentier de terre battue où les locaux habitent et où nous sommes hébergés. La vie des habitants de cette île est modeste, notre logeuse partage sa cuisine avec nous et elle ne possède qu’une pièce pour elle et son fils de 6 ans. 


Le matin il pleut, le linge a du mal à sécher et la journée est trop chaude pour les balades.
Bref parenthèse plage, coups de soleil et galettes de Tapioca le soir.

Sur les conseils de notre logeuse, les enfants ont pu participer à un cours de capoeira au centre culturel.